Hakim Adi
Articles avec la étiquette Hakim Adi
Archive d'Étiquettes
- Adriano Mixinge
- África do Sul
- africaine
- afrique
- agostinho neto
- Amérique
- amilcar cabral
- Ângela Ferreira
- archéologie
- arménio vieira
- art contemporain
- Aurélio Furdela
- Berlinale
- black lives matter
- Bruno Candé
- cabo verde
- Cacheu
- Cap-Vert
- Charlie Hebdo
- Chris Marker
- Claire Andrade-Watkins
- coréen
- Coupe du Monde
- créole
- creolisation
- david adjaye
- démocratie raciale
- désert
- dialogue
- documenta fifteen
- droite
- e a Raquel da Silva. Menciono também de passagem: Homi Bhabha
- Egipto
- entretien
- Espanha
- ethnographe
- européens
- exclusion
- exotisation
- felwine sarr
- femme
- Fernanda Murad Machado
- France
- Franz Fanon
- Guadeloupe
- Haile Gerima
- Hanami
- imperialisme
- indépendance
- internet
- Janilda Bartolomeu
- kassel
- l'esclavage
- l'évolution
- La Charte du Manden
- La Place Du Noir
- Les bouts de bois de Dieu
- liberdade já
- liberté
- linguistique
- littérature
- littérature africaine
- madagascar
- Marielle
- martinique
- mémoire
- Mémorial suisse pour les victimes du national-socialisme
- metissage
- noirs
- Nuno (Boaventura) Miranda
- O ocaso dos pirilampos
- Ousmane Sembene
- Pablo Brugnoli
- pascal picq
- photographique
- plantations
- poésie
- prix Camões
- Prix Littéraire
- processus idéologique
- racisés
- Raoul Peck
- reine nzinga
- revoluções árabes
- Ruy Mingas
- Salazar
- Samira Vera-Cruz
- Senegal
- soberania
- socialisme
- SOS Racisme
- SOS Racismo
- Suely Rolnikescritor
- tabu
- terrorisme
- tutsis
- violences policières
- voyage
- Werner Radasewsky e Günter Schneider
- Zuma
 À côté de l’histoire dominante des parti communistes européens, centrée sur la classe ouvrière métropolitaine, il est possible de retracer la trajectoire souterraine de ces militants communistes et panafricains, minoritaires dans leurs partis, mais activement soutenus par Moscou dans l’entre-deux-guerres. Il s’agit d’une époque où les jeunes partis communistes sont dominés par des Blancs, des métropolitains, ou par des colons aux colonies. Pour combattre l’opportunisme, le chauvinisme implicite ou explicite de ces militants, l’Internationale communiste a procédé à la structuration d’une série d’organisations transnationales, chargées de coordonner l’activité révolutionnaire autour de la « question noire » : Afrique du Sud, colonies d’Afrique noire, ségrégation aux États-Unis, etc. Hakim Adi raconte ici cette histoire inédite, celle d’une rencontre originale entre le communisme, le nationalisme noir et le panafricanisme.
				À côté de l’histoire dominante des parti communistes européens, centrée sur la classe ouvrière métropolitaine, il est possible de retracer la trajectoire souterraine de ces militants communistes et panafricains, minoritaires dans leurs partis, mais activement soutenus par Moscou dans l’entre-deux-guerres. Il s’agit d’une époque où les jeunes partis communistes sont dominés par des Blancs, des métropolitains, ou par des colons aux colonies. Pour combattre l’opportunisme, le chauvinisme implicite ou explicite de ces militants, l’Internationale communiste a procédé à la structuration d’une série d’organisations transnationales, chargées de coordonner l’activité révolutionnaire autour de la « question noire » : Afrique du Sud, colonies d’Afrique noire, ségrégation aux États-Unis, etc. Hakim Adi raconte ici cette histoire inédite, celle d’une rencontre originale entre le communisme, le nationalisme noir et le panafricanisme.		



