La représentation de Luanda dans « Chico Nhô » de Jacinto de Lemos

La représentation de Luanda dans « Chico Nhô » de Jacinto de Lemos C’est surtout l’histoire de l’exigence progressive et de la conscience de l’autonomie de cette littérature envers les modèles culturels de la métropole, l’histoire de la reconnaissance de son originalité face aux modèles européens et l’histoire des tentatives pour la replacer dans des schémas interprétatifs qui lui sont propres: Luanda comme expression d’une société créole opposée au reste du pays alors profondément imprégné de la culture d’origine bantoue ou Luanda comme élément extrinsèque dans sa réalité de ville fondée par des étrangers mais peu à peu reconquise par les habitants légitimes de cette terre et sa culture

La ville

14.05.2012 | par Alice Girotto

Luanda, tournée vers le futur, néglige son patrimoine architectural

Luanda, tournée vers le futur, néglige son patrimoine architectural Les « sobrados » sont les dernières maisons qui datent de l’époque de l’esclavage. « Le plancher de ces maisons était fait avec du bois dont on remplissait les cales des navires d’esclaves qui revenaient à vide du Brésil, raconte Ângela Mingas. Et les murs étaient en pisé (une technique à base de terre crue), ils étaient fabriqués avec un mélange de terre et de coquillages ramassés par les pêcheurs d’Ilha. Ce sont des caractéristiques qu’on ne retrouvera jamais… ».

La ville

30.09.2010 | par Cécile de Comarmond

KUDURO, la batida de Luanda

KUDURO, la batida de Luanda Le kuduro est créé et produit dans les quartiers populaires de Luanda, les "musseques" de Luanda, et se propage très rapidement au travers des "Kandongueiros", véhicules de transport collectif de Luanda. Chaque jour apparaissent de nouvelles musiques qui alimentent le vocabulaire de Luanda de nouvelles expressions, de nouveaux rythmes, de nouveaux sons et de nouveaux pas. Cette création frénétique de langages urbains occupe une place importante dans la société angolaise actuelle, notamment chez les plus jeunes.

Plateaux

06.06.2010 | par Francisca Bagulho