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 Le cinéma africain—ou plutôt les cinémas africains—ne sont pas de simples pratiques artistiques: ce sont aussi des interventions épistémologiques. Comme l’écrivait Frantz Fanon, la décolonisation n’est pas seulement politique: elle est aussi symbolique, imaginaire et visuelle. Le cinéma devient alors un champ de bataille pour le pouvoir de nommer, de représenter, de réinventer cette « communauté imaginée » dont parlait Benedict Anderson.
				Le cinéma africain—ou plutôt les cinémas africains—ne sont pas de simples pratiques artistiques: ce sont aussi des interventions épistémologiques. Comme l’écrivait Frantz Fanon, la décolonisation n’est pas seulement politique: elle est aussi symbolique, imaginaire et visuelle. Le cinéma devient alors un champ de bataille pour le pouvoir de nommer, de représenter, de réinventer cette « communauté imaginée » dont parlait Benedict Anderson.		



