Et si l’évolution devenait aussi une histoire de femmes ?

Et si l’évolution devenait aussi une histoire de femmes ? Par ces temps d’obscurantisme, où toutes les lumières de la raison s’éteignent sous le souffle conjugué de l’ignorance et de l’arrogance, ce livre dépoussière nos idées reçues d’un vigoureux coup de plumeau. Quand le savoir et l’humour s’allient pour le plus grand bonheur des lecteurs.trices, on ne saurait trop recommander la lecture de l’ouvrage de Pascal Picq : Et l’évolution créa la femme.

À lire

01.03.2021 | par Jacqueline Dérens

La voix des sans-voix. Fragments de l’histoire politique au Burkina Faso.

La voix des sans-voix. Fragments de l’histoire politique au Burkina Faso. Tu filmes les chaises vides et les instruments de musique posés par terre, et aussi celles et ceux qui viennent s’asseoir devant la caméra quelques instants avant qu’ils ne prennent la parole. Ce qui fait qu’à chaque fois que quelqu’un s’adresse à la caméra, il y a à côté une présence silencieuse, un potentiel d’énonciation en attente. Lorsque quelqu’un parle, chante ou joue de la musique, quelqu’un ou quelque chose à côté reste immobile ou silencieux, comme une sorte de contrepoint nécessaire à une écriture polyphonique. Parfois cette présence à côté s’impatiente et commence à bouger sur place, son regard part au loin, rêveur, ou vient se poser, pensif, à terre. Peu à peu on s’aperçoit que tous ces corps émettent des signes.

Tête-à-tête

12.12.2020 | par Vanessa Brito

Réunion avec le passé: les nouveaux marrons face au "génocide culturel" européen

Réunion avec le passé: les nouveaux marrons face au "génocide culturel" européen Ils avaient soif de liberté. Pendant deux siècles, des esclaves fugitifs se sont aventuré dans les hauteurs de La Réunion et y ont bâti un mystérieux royaume, symbole de la résistance à l'esclavage. Aujourd’hui, alors que la vie sur l’ile s’européanise, les réunionnais ont soif d’identité. Des poètes, historiens, tisaneurs ou musiciens se soulèvent pour défendre l’histoire et la culture créole - et survivre au "génocide culturel".

À lire

05.11.2018 | par Francisco Colaço Pedro