Adriano Moreira a réouvert le Tarrafal il y a 50 ans en tant que ministre de Salazar.

Adriano Moreira a réouvert le Tarrafal il y a 50 ans en tant que ministre de Salazar. Antonio Valdemar a mis en exergue le rôle d’Adriano Moreira dans le maintien du régime colonial, en rappelant qu’il l’a fait en tant que sous-secrétaire d’Etat de l’Administration d’Outre-mer entre 1960 et 1961. Cette année-là, il est devenu ministre de l’Outre-mer et est resté en fonction jusqu’en 1963. A cette période, devant le refus des propositions faites par Nehru à propos de l’entrée négociée de l’Etat de l’Inde, ainsi appelé par le régime, l’annexion des territoires de Goa, de Damân et Diu a eu lieu en décembre 1961.

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15.05.2012 | par António Melo

Patrimoine photographique: Qui possède les souvenirs de "Avant"?

Patrimoine photographique: Qui possède les souvenirs de "Avant"? Partout en Afrique il ya un certain renouvellement d'une industrie de la culture et de la mémoire, ou peut-être même le culte de la mémoire.

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15.05.2012 | par P.J. Marcellino

Huit jours, six nuits : Journal de bord d’un premier voyage au Sénégal et en Afrique Sub-saharienne

Huit jours, six nuits : Journal de bord d’un premier voyage au Sénégal et en Afrique Sub-saharienne Nous atterrissons à Dakar à 2h30 du matin. En cherchant de l’avion la presqu’île du Cap Vert, la carte que j’avais étudiée depuis des mois prend maintenant vie. Je sais exactement où est notre hôtel. Je sors de l’avion en cherchant le premier élément qui me prouvera que je suis en Afrique. Rien de spécial, à part le nom de l’aéroport : Léopold Sedar Senghor, le premier président du Sénégal, le président-poète.

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14.05.2012 | par Maria Vlachou

Une île en Suisse

Une île en Suisse Marcher dans la petite ville suisse de Stein, près de la frontière allemande, c’est plonger dans une carte postale où les maisons et les rues immaculées laissent à peine place à un calme ennuyeux, juste brisé par la sensation que ce n’est rien d’autre qu’un décor de film pas encore tourné, tant tout paraît si peu utilisé.

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14.05.2012 | par Fernando Naves Sousa

Les histoires que nous nous racontons à nous-mêmes

Les histoires que nous nous racontons à nous-mêmes Des musées qui traitent d’histoires de vie, d’évènements politiques, de traumatismes, de conflits, de haines, du « nous » et « les autres », des personnes. Je les visite toujours avec la curiosité excessive de voir s’ils ont accepté le défi et de quelle manière il le traite.

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14.05.2012 | par Maria Vlachou

La représentation de Luanda dans « Chico Nhô » de Jacinto de Lemos

La représentation de Luanda dans « Chico Nhô » de Jacinto de Lemos C’est surtout l’histoire de l’exigence progressive et de la conscience de l’autonomie de cette littérature envers les modèles culturels de la métropole, l’histoire de la reconnaissance de son originalité face aux modèles européens et l’histoire des tentatives pour la replacer dans des schémas interprétatifs qui lui sont propres: Luanda comme expression d’une société créole opposée au reste du pays alors profondément imprégné de la culture d’origine bantoue ou Luanda comme élément extrinsèque dans sa réalité de ville fondée par des étrangers mais peu à peu reconquise par les habitants légitimes de cette terre et sa culture

La ville

14.05.2012 | par Alice Girotto

SALMA NOVA, Music Master (Liban)

SALMA NOVA, Music Master (Liban) DOM Disques s’est fait une spécialité de distribuer en France des disques produits par des petits labels de divers pays de Méditerranée et d’ailleurs, et dont certains sont des pépites, comme nous avons déjà eu l’occasion de vous en faire partager dans cette chronique Muzzika! Et voilà que nous arrive du Liban un disque délicieux: disque de bossa nova brésilienne... chantée en arabe libanais, d'une jolie voix douce, tout à fait dans l'esprit brésilien: nous avons adoré !

Plateaux

10.05.2012 | par Nadia Khouri-Dagher

L’Afrique encore à l’honneur pour le Festival Babel Méd Music de Marseille

L’Afrique encore à l’honneur pour le Festival Babel Méd Music de Marseille Le festival Babel Méd Music de Marseille, qui pendant trois jours, du 29 au 31 mars, offrait trente concerts de musiques du monde à quelque 15 000 spectateurs, a encore mis l’Afrique et le monde afro-caribéen à l’honneur, avec près de la moitié des artistes et groupes programmés. Hommage aux stars confirmées que sont Mory Kanté (Guinée) et Bonga (Angola), mais aussi et surtout, car telle est la vocation de ce festival qui se double d’un salon professionnel, cette 8e édition a encore permis la découverte d’une pléiade de talents émergents, venus du nord au sud du continent et des îles. Une fois de plus, Marseille confirme sa vocation de porte de l’Afrique... musicale !

Plateaux

09.05.2012 | par Nadia Khouri-Dagher