La difficulté à transmettre l’histoire inconnue de la Constitution sud-africaine

La difficulté à transmettre l’histoire inconnue de la Constitution sud-africaine The Constitution Hill Trust (CHT), une organisation fondée en 2006 afin de défendre le constitutionalisme en Afrique du Sud, a conçu une exposition virtuelle portant sur l’élaboration de la Constitution sud-africaine et intitulée Our Struggle, Our Freedom, Our Constitution(Notre lutte, notre liberté, notre Constitution). Cette exposition fut lancée le 24 septembre 2020. Faire connaître cette histoire était urgent car nous ne pouvons pas appréhender l’Afrique du Sud actuelle, ainsi que les défis auxquels le pays est confronté, sans comprendre la fondation sur laquelle repose notre démocratie constitutionnelle. Trois défis devaient être pris en compte afin de mettre en place ce projet. Le premier concerne la fragilité croissante des démocraties dans le monde. Le second concerne les accusations, toujours plus nombreuses, que notre Constitution est un mièvre compromis ou qu’elle n’a pas produit le changement escompté. Un troisième défi vient accentuer les deux premiers, à savoir que le remarquable processus d’écriture de notre Constitution, ainsi que la signification de ce document, est peu connu en Afrique du Sud ainsi qu’à l’extérieur de ses frontières.

Jeux Sans Frontières

11.10.2021 | par Lauren Segal et Lwando Xaso

E l'Afrique et du Portugal: destins, mémoires, représentations // Festival des 3 Continents

E l'Afrique et du Portugal: destins, mémoires, représentations // Festival des 3 Continents Mal connues, ces cinématographies constituent un des chapitres parmi les plus importants de l’histoire des cinémas africains. Elles seront même traversé par un est des rares et ponctuels moments de convergence entre des perceptions novatrices européennes (Rouch et Godard feront le voyage au Mozambique pour apporter leur contribution – infructueuse mais marquante) ou latino-américaines (Ruy Guerra, né au Mozambique, revient du Brésil, l’ICAIC cubain forme des techniciens et réalisateurs mozambicains) et le désir utopique de créer les conditions d’une expérience d’où émergerait un cinéma pédagogique, autochtone, indépendant.

Afroscreen

24.11.2016 | par Aisha Rahim et Jérôme Baron