Rééducation de femmes, entretien avec Licínio Azevedo à propos du film ‘ Virgem Margarida’

Rééducation de femmes, entretien avec Licínio Azevedo à propos du film  ‘ Virgem Margarida’ A violência do conflito e os desafios quotidianos impostos pela natureza hostil acabam por aproximar os pólos opostos, que se descobrem prisioneiros das mesmas cadeias. Juntas, militares e prostitutas acabam por se opor a um comando superior que se revela verdadeiramente corrupto e optam pelo perigoso caminho da sua libertação.

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19.02.2013 | par vários

1er appel – réflexion sur le corps - CORPS et PRÉCARITÉ

1er appel – réflexion sur le corps - CORPS et PRÉCARITÉ De telles vies peuvent être affectées sans être l’objet d’un « duel », la précarité est nécessaire pour la protection du style de vie ou de la vie d’autres sujets. On ne peut donc pas penser au corps sans tenir compte des conditions qui le rendent vulnérable à la précarité, que ce soit des questions relatives au genre, à l’origine, à l’orientation sexuelle, à la sexualité, à la classe sociale, à la race, à la différence culturelle, à la maladie, à l’incapacité, à l’aspect physique ou à l’âge. Dans ce sens, nous prétendons insister moins sur la politique identitaire ou sur les prétentions identitaires (et sa subversion trompeuse) et plus sur la précarité et ses distributions de la différence et de l’exploration sur les cartes du pouvoir contemporain.

Corps

19.02.2013 | par Buala

A la recherche d’une poétesse et d’un espoir angolais

  A la recherche d’une poétesse et d’un espoir angolais « J’étais allé rendre visite à Lídia, qui logeait dans l’appartement de Paulete, et je n’en suis plus sorti. Les coups de feu paraissaient venir de toute part », écrit le narrateur de « Estação das Chuvas ». « La télévision montrait des images de guerre. Des enfants avec des lacets rouges attachés autour de la tête, des walkmans dans les oreilles, des cartouchières de munitions croisées sur la poitrine. (…) Lídia ne voulait pas regarder la télévision. Pendant ces trois jours, elle s’est enfermée dans sa chambre pour écrire. (…) Quand les coups de feu se sont arrêtés, je suis sorti avec elle.

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19.02.2013 | par Susana Moreira Marques